Imprimeur labellisé
Imprim’Vert

Critère n°1

Le label Imprim’Vert exige l’élimination des déchets suivants :

• Chimies plaques et films usagés
• Solvants de nettoyage usagés
• Chiffons souillés
• Cartouche jet d’encre et toner
• Boîtes d’encre
• Déchets liquides ou pâteux d’encres, de colle, de vernis, huile, gommes
• Solution de mouillage usée
• Déchets électriques et électroniques
• Emballages souillés (bidon, aérosols, …)

Critère n°2

Le label Imprim’Vert impose la sécurisation du stockage des liquides neufs dangereux et des déchets liquides en cours d’utilisation ou non. En cas de fuite d’un liquide, l’imprimeur doit garantir :

• l’absence de risque pour les opérateurs
• l’absence de risque de pollution accidentelle

Critère n°3

Le label Imprim’Vert interdit l’utilisation de produits étiquetés « toxiques » (symbole « tête de mort »)

Critère n°4

L’imprimeur doit mettre en place une stratégie de communication interne autour du label Imprim’Vert®, visant à sensibiliser le personnel aux impacts environnementaux de l’imprimerie. Des actions de sensibilisation environnementale à destination de la clientèle sont à prévoir par les entreprises spécialisées dans l’impression numérique.
Cette sensibilisation met l’accent sur :

• Le choix du papier (recyclé, papier issu de forêts gérées durablement PEFC et FSC …)
• La consommation du papier (par exemple, conseil d’opter pour un recto/verso plutôt que d’un recto seul, conseil quant à l’utilisation judicieuse du grammage papier …).
• La marque est renouvelée chaque année sous réserve de la fourniture des pièces justificatives (bordereau d’enlèvement avec une visite sur site tous les 3 ans).

Critère n°5

Etabli en 2010 par le label Imprim’Vert, ce critère a pour objectif de sensibiliser les imprimeurs à leur consommation en énergie. A cet effet, l’entreprise doit instaurer un suivi trimestriel de ses consommations énergétiques et transmettre ce relevé à chaque renouvellement de la marque.